Quatre destins

Ben voilà ma toute nouvelle fic, assez speciale, je l'admet (je n'ai pas réussi à tout mettre en un mesage, désolée)




Introduction :

Cette histoire n'est pas vraiment une histoire normale car elle ne se rapporte pas à un fait vraiment précis, cette histore raconte l'évolution de chacun des maraudeurs et ce qui a brisé leur amitié. Cette histoire raconte quatre destinées et le déclain d'une seule
amitié..

Partie I : Notre avenir.
Recit de James Potter.

Douleur...joie, ces deux mots sont si differents et pourtant, il enfaut si peu pour qu'un mot rejoigne l'autre.
J'étais là, et j'ai assisté à cet etonnant changement de sentiments qui s'explique tout simplement par le miracle de la vie. Lily était à mes côtés, son visage crispé par l'effort, sa douleur se faisant sentir à chacun de ses cris.

Jamais je ne m'étais senti aussi inutile, pour Lily, j'aurais soulevé des montagnes mais cette montagne là, ce n'était pas à moi de la porter.Je ne pouvais que lui prendre la main et esperer par ce moyen attenuer un tant soit peu sa douleur qui me semblait immense.Et elle la serrait fort, très fort, si fort que mes mains prirent vite une teinte violacée à leurs extremités. mais je ne dis rien j'avais envie de soffrir, comme elle, pour me dire que moi aussi j'avais mérité le bien qui allait nous être accordé et nous serait le plus cher, le plus precieux...

La femme qui s'activait à encourager Lily me demandait de faire de même, de l'accompagner dans l'incroyable effort qu'elle fournissait..Et je n'arrivai pas à sortir de ma bouche un mot cohérant ou encourageant,rien ne sortit, et j'en avais presue honte.

Enfin sa tête est apparu, et peu à peu, pendant un temps qui me parrut si long mais ne le fut sans doute pas temps, le reste du corps suivit.Les traits du visage de Lily s'étaient détendus, et malgrès les queques larmes qui perlaient le long de ses joues, elle affichait un radieux sourire.

Le passage mysterieux de la douleur à la joie...

Il n'était pas très grand, ni très gros, il arborait les magnifiques yeux verts emmeraude de Lily.La sage femme le déposa dans ses bras et dit d'un ton qui me semblait trop professionel en un tel évênement.

-Felicitation, c'est un garçon!

Nous avions échangé regards et sourires, en parents comblés et qui se doivent de l'être et Lily avait dit :

-Bienvenue parmis nous, Harry!

Elle me laissa le porter, si léger, si adorable..enfin je ressentais la joire d'être père.

Il était notre avenir..nous ignorions que nous ne serions pas le sien.

Partie II : Le sang versé.
Recit de Remus Lupin.

Les mois passaient et passaient encore, toujours les mêmes depuis trop longtemps et cette fois, j'étais seul. Plus de maraudeurs, plus rien..chacun se trouvait trop occpé, et la venue de Harry n'arrangeait
ien. Cette nuit, j'allai la passer seul..

J'avais tout prévu, je m'étis rendu à la cabae hurlante, seul, et l'astre détésté s'est élevé dans le ciel. J'avais mal..pas au corps mais au coeur, e savais qu'ils ne pourrauent pas toute ma vie m'aider à supporter ce poids, mais je l'avais éspéré et cette pensée m'envahit durant toute ma transformation, jusqu'à ce que peu à peu mon espprit s'éteigne et que celui du loup garou refasse surface.

Rien, le vide, cette soirée, je ne m'en souvenait plus.À l'aube ce matin je me levai les vêtements dépareillés et les cheveux en bataille...sur un sol loin de me rappeler le sol poussiereux de la cabane hurlante, un sol herbeux.La crainte que je ressentit alors était je crois, l'une des pires. Je m'étais retourné brusquement, la cabane hurlante se tenait à quelques mètres derrière moi et tous les verrous de cette dernière avaient été arrachés. J'ai voulu m'enfuire avant que l'on ne remarque ma présence. Quand je me suis appuyé au sol avec mes mains pour me relever, un frisson me parcourut l'échine, un liquide tiède était entré en contact avec ma main. J'osai à peine les lever afin que mes yeux les observent : je savais déjà de quoi il s'agissait, j'en ai eu la confirmation quand je finit par mettre mes mains à porté d'oeil. Elles étaient roiges et le liquide écarlate commençait à secher sur ma main.Une peur plus grande que l'angoisse s'empara de moi, j'a essayé de me convaincre que ce sang était le mien mais j'avais la certitude que ce n'était pas le cas. Je me levai avec difficulté.

L'herbe était couverte dune imposante trace de sang qui suivit une tajectoire irregulière et s'éloignait vers le grillage qui délimitait l'entrée de la cabane hurlante.Au fur et à mesure, la trace était de plus en plus visible, elle s'arrêtait à une silhoutte allongé que je ne distinguai pas très bien encore. Je me suis approché d'elle, mon ceur battant la chamade. Peu à peu, ce battement se radouçit, ce corps était celui d'un animal. Les choses me parurent confuses, à la fois heureux de ne pas avoir pris de vie humaine et inquiet...les loups garous ne s'attaquent pas aux animaux d'habitude. Etait-ce cette colère idiote envers les autres qui m'avait aveuglé?Peu importe, il était trop tard à présent.Je m'avançai encore et remarqua qu'il s'agissait d'un grand chien au pelage blanc que le sang avait teinté de rouge étendu sur le flanc. Immediantement, je songeai à sirius, et aux autres évidemment. Le loup-garou n'avais
pas épargné ce chien alors qu'il en avait eut un pour compagnie durant de nombreuses années. J'avais sous mes yeux la preuve que plus dune
fois, j'avais mis leur vie en périle et dans mon esprit la peur que la prochaine fois, les animaux ne lui suffisent plus.

Partie III : Je ne regrette rien.
Recit de Peter Pettigrow.

Le téléphoe sonnait, cette étrange invention moldue que James nous avait prié de posseder pour rester en contact, comme si la poudre de cheminette et les hiboux ne suffisaient pas!Il ne fut pas étonné par le bruit qu'emmetait la sonnerie répétée du téléphone, sans doute l'avait il déjà entendu.

-Eh bien, qu'attends tu, Queudver? Réponds donc!

Les mains tremblantes, je décrochai le combiné du téléphone.

-A..allo?

-Queudver? qu'est-ce que tu fais encore chez toi? On t'attends nous!

Mes mains tremblèrent d'avantage, si boen que le combiné menaça plusieurs fois de s'écraser au sol.

--Désolé, James, je ne pourrai pas venir!

-Quoi? toi non plus?Qu'est-ce qui se passe?

-Rien, j'ai du travail, voilà tout!

-Très bien, Harry fêtera son deuxième Halloween sans vous! À une autre
fois, Peter!

-À une autre fois!

Je raccorochai le téléphone.Non, il n'y aurait pas d'autres fois tout comme il n'y avait plus de maraudeurs. J'avançai sur un nouveau chemin sans eux, et je ne voulais pas revenir en arrière.

-Très bien queudver!dois-je conclure par ce silence que James, Lily et ce cher harry Potter seront bien chez eux ce soir, comme prévu?

J'acquiescai :

-Oui, les plans n'ont pas changés!

Il prit le morceau de parchemin où j'avais écrit leur adresse et il affichait un macabre sourire.

-Dans ce cas, j'irai donc ce soir, et pourquoi pas maintenant..merci pour ton aide, Queudver, tu sera hautement récompensé pour ce que tu viens de faire!

Ce qu'il venait de dire, je l'ésperai de tout coeur, aucun sacrifice sans benefices, comme d'habitude, je me rangeai du côté des plus forts.
Il ouvrit la porte de ma maison et se retourna pour que ses étroites pupilles puissent aisemment me fixer.

-Eh bien, qu'attends tu, queudver?

-Mais maître, je croyai que...

-Je préfère t'avoir à mes côtés, je veux que tu ne manque pas ce spectacle.

-Je..oui maître.

Tout sauf ça! Je ne voulais pas les voir mourrir, juste les savoir mourrir,être honnoré au delà du possible sans que ce souvenir ne me harcelle.Je l'ai conduit à Godric's Hollow. Le maître me demanda d'attendre au dehors, je l'aurais cent fois remercié. De là où j'étais, j'entendais leurs derniers cris et son rire glacial. Avait-il déjà tué Harry?Je l'ignore, mais la marque des ténèbres flottait à présent sur leur maison.

Je n'ai rien ressenti, ni peine, ni satisfaction, mais surtout, je n'ai rien regretté.

Partie IV : Ce soir là.
Récit de James et Lily Potter.

C'était son deuxième Halloween. Pour le lui fêter dignement, nous avions tout prévu, tout devait se passer à merveille, c'était sur la bonne voie en tout cas. Harry souriait d'une preille à une autre, il avait compris que c'était un jour particulier, et plus qu'on ne le pensait nous-même. Un craquement se fit entendre au dehors, quemqun avançait dans notre jardin.

-Qui ça peut bien être?

-Sans doute des enfants qui réclame des bonbons..

-Arrête Lily, tu sais bien que nous avons un gardien du...

J'interrompit ma parole, la silhouette qui s'avançait dans le jardin, je la conaissait.

-Lily!Prends Harry et vat'en, c'est lui!Va-t'en!

La baguette pointée sur la porte, je l'attendai..comment avait il pu savoir où nous nous trouvions, la réponse n'était pas vraiment difficile : Peter leur avait tout dit..
Nous savions que la menace engandrée par Voldemort pesait sur nom depuis que Dumbledore avait entendu cette prophétie, mais je ne me sentais près qu'à moityié à l'affronter pour autant quand la porte s'ouvrit à la volée.
Il m'avait entendu..il éclata d'un rire suraigu avant de dire :

-Tu ne t'en sortira pas, cette fois!

Je m'apprêtai à lui lancer, un sort, n'importe lequel, mais il fut plus rapide...

-Avada Kedavra!

***

-J'avais entendu son cri et à nouveau cet horrible rire..il était trop tard.
Voldemort enjemba le corps de James et se dirigea vers moi, je n'avais plus le choix, il fallait mettre Harry à l'abri, mais où? Voldemort se trouvait juste derrière moi...je ne pus que le déposer dans son landeau et me retourner pour faire face à Voldemort, sa baguette pointée sur ma poitrine.

-Ecarte toi!

-Non, vous n'aurez pas mon fils!

-Pour moi, ta vie n'a pas d'importance, mais peut-être en as-t-elle plus pour toi..ecarte toi ou...

-Non je ne veux pas.

-Je tuerai Harry quoi que tu fasse et quoi que tu tentes.

-Non, pas Harry je vous en supplie, je ferais tout ce que vous voudrez...

-Pousse toi, idiote, allez, pousse-toi!

-Non!

Alors je vis un éclair vert s'échapper de sa bguette et fondre sur moi..

Partie V : Le froid et l'obscur.
Recit de Sirius Black.

La rage s'emparait de moi, les membres de la brguade inquisitoriale fondaient sur moi. Je contemplai le doigt que Peter s'était coupé avec la seule satisfaction de savoir qu'il aurait au moins un peu souffert.

,J'aurai voulu crier <<au traître!>>, mais qui m'aurait cru? J'étais déjà prisonnier de ma colère et de l'injustice, les barreaux dans lesquels on allait m'enfermer n'étaaient rien comparé à celà. Ils m'ont mené à Azkaban au milieu de tous ces gens qui peu à peu perdaient la raison, écumaient d'abord de rage, puis se taisaient car ils devenaient au fur et à mesure, de pâles reflets d'eux-mêmes.

Je n'ai jamas eut la crainte d'être comme eux, je savais comment faire, même comment je pourrai m'enfuire, mais à quoi bon? James et Lily n'étaient plus, Remus et les autres me croyaient sans doute coupable et Harry allait à présent vivre chez son oncle et sa tante.

Je n'avais pour seule ambition que celle de commettre le crime pour lequel on m'avait enfermé dans cette sombre prison où le froid vous glace de l'interieur, où les cris et gemissements font partie du quotidien et où aucun souvenir heureux ne vient eguayer l'horreur de chaque jour.
Ici je devais passer toute ma vie, toute ma vie à esperer de trouver le moyen de savoir où était Peter. Et ce moyen je l'ai trouvé alors que j'avais passé douze ans de ma vie à éviter de n'être plus que l'ombre de moi-même..

Fudge venait en visite à Azkaban, son journal à la main, je ne lui demandait à la base que de quoi lire, s'occuper l'esprit à d'autres choses, mais le vent tourna...la première page du journal affichait la photo d'une heureuse famille nombreuse qui, ayant gagné une importante somme d'argent étaient partis en voyage en Egypte.Mais ça, ça m'était égal. Cependant, l'animal posé sur l'épaule du garçon le plus jeune m'interessait au plus haut point.


Aisnsi je t'ai retrouvé, Peter, et cette fois, e te tuerai!

Partie Vi : Après tout ce que j'ai fait pour lui..
Recit de Peter Pettigrow..

Moins que rien..à nouveau, c'est ainsi que je me retrouvai, à jouer le serveur et à lecher les bottes de Servilus.

Pourquoi devais-je me rabaisser à des tâches qui ne m'apportaient rien? n'avais-je donc acquis aucune estime dans le coeur de voldemort? Ne meritais-je donc aucune récompense pour tout ce que j'avais fait?
J'ai trahi mes amis pour lui, j'avais mis le jeune Potter à porté de sa main et de sa vengeance, est-ce de ma faute s'il n'a pas été tué alors qu'il aurait dû l'être?

J'ai tout laissé, et douze années de ma vie j'ai accepté de vivre sous la forme d'un immonde rat en attendant son retour.

Je n'avais plus personne d'autre derrière qui me ranger, je n'avais que lui, qui devait être le plus fort d'entre nous tous, et je l'ai rejoint.. Sans moi, qui donc aurait pris soin de lui durant toute cette année?
Mais je ne suis rien, trois fois rien, combien de taches aurais-je encore à accomplir pour mériter son estime?Je vaux bien mieux que ce que tout le monde croit,sans moi, le seigneur des ténèbres ne serait jamais revenu à la vie. J'ai sacrifié ma chair pour le faire renaître, et en récompense de quoi?De cette main en argent, certes, seul signe de reconaissance jamais reçu.Mais le reste ce ne fut que des réprimandes...par dessus le marché, je dois être au service de Servilus et servir de porte-manteau à tous les mangemorts qui viennent chez lui!

Je n'ai pas fait tout ça pour rien!Je ne suis pas rien! J'ai fait bien plus que la plupart des mangemorts réunis mais je n'ai droit à rien.Je àporte la marque des ténèbres, pour celà je suis égal aux autres, et peut etre que je suis même superieur aux autres. Je veux la reconaissance car je ne suis pas rien.

Après tout ce que j'ai fait pour lui...

Partie VII : Le voile noir.
Récit de Sirius Black.

Kreattur...je l'aurai tué! Non content de blesser Buck, il fallait en plus qu'il...oh, je l'aurai tué...Peu importe, j'avais appris par rogue que Harry avait essayé de me contacter, pourquoi ne l'avais-je pas su? Pas vraiment difficile de le deviner...mais ça ne changeait rien à la situation, Harry me croyait en danger au département des mystères, là où voldemort l'attendait...Rogue m'avait dit qu'il iraitprevenir Harry que je me trouvais au quartier general, mais il arriva trop tard. Quand il me recotacta Maugrey, Tonks, Kingsley et Remus se trouvaient au quartier général.

-Potter n'est pas revenu de la foret interdite, je crains qu'il n'ait décidé de se rendre au ministère de la magie.

nos regards se sont croisés et je me suis exclamé :

-Alors il faut nous y rendre imediatement!

-non Black, du moins pas toi, Dumbledore devrait arriver d'un moment à l'autre, il faut que tu reste le prevenir de ce qui se passe et tu sais qu'il ne serait pas prudent que tu quitte cette maison.

L'ironie avec laquelle il avait dit celà..il aimait à savoir qu'une fois de plus je resterai de côté, mais là je n'y tenais absolument pas.J'avais lancé à rogue un regard noir, savait-il seulement ce que je ressentai?Non, e ne pouvais pas rester en arrière alors que la vie de Harry était en danger, je ne le voulais pas.

-Pourquoi tu ne resterai pas toi-meme prévenir dumbledore?

-Je vais m'assurer que Potter ne se trouve pas encore dans la forê^t.

£Le contact fut alors rompu. J'écumai de rage. Remus posa une main sur mon épaule.

-Je sais ce que tu pense, mas...

-Non tu ne sais rien!

-si, sirius, crois moi..mais Severus a raison..

Je ne lui répondis pas, je ne bougeai pas. Les autres sortirent au dehors. C'est alors que j'ai eu l'idée de demander à cette triple andouille de Kreattur de délivrer le message à Dumbledore, et je suis parti.Quand ils me virent apparaître parmis eux, Tonks afficha un air étonné, Kingsley un regard agacé, Maugrey leva son oeil normal au ciel, lautre fixé sur moi, Remus se mordit la lèvre.

-Qu'est-ce que tu fais là? Je croiyai que..

-Je me suis arrangé pour que Dumbledore ait le message et je ne compte pas rester passif, pas cette fois.

Remus soupira.

-Tu es là maintenant, de toute manière!

Nous sommes motés jusqu'au département des mystères, il n'était pas difficile de savoir où Harry se trouvait,, on entendait de l'agitation , quand nous sommes arrivé, Harry, prophétie à la main, la tendait à Malefoy, il n'avait à vrai dire pas vraiment le choix, ma chère cousine Bellatrix menaçait à chaque instant de prodiguer les pires souffrances à son ami : le jeune Londubat.Heureusement, tonks décocha à Malefoy un éclair de stupefixion.

Le combat était assez égal, mais les choses se précipitèrent quand tonks, mal en point, venait de perdre son combat contre Bellatrix. À présent, c'était à moi de m'en occuper, mais avant...

-harry, prends la prophétie, emmène Neville et vas-t'en d'ici!

dumbledore était arrivé juste au bon moment, il parvint à tenir en respect les autres mangemorts, il ne restait plus que bellatrix. Tandis qiue j'évitai un jet de lumière projeté par sa baguette je la provoquai :

-Allons, tu peux faire mieux que ça!

Et elle fit mieux, bien mieux, car le second jet de lumière me frappa en pleine poitrine.

Je traversai le voile...

Partie VIII : Tout est fini.
Recit de Remus Lupin.

Je l'ai vu s'en aller sans vouloir y croire, comme je n'avais pas voulu croire en la mort de James et de Lily. La réallité me semblait autre, tout autre...j'aurais voulu fermer les yeux, les rouvrir et réaliser que tout ça n'était qu'un cauchemar, mais je ne suis toujours pas réveillé.Rien ne changerait, ce fut Harry, qui déployait les memes efforts que moi pour le croire en vie qui me le fit pleinement comprendre.

De mes bras, je le retint, à cette instant nous ressentions une douleur égale. Il ne l'avait pas compris, et si je le lui avais dit, ne l'aurait pas compris. Le poids du monde semblait peser sur ses épaules et il ne voulait personne pour l'aider à le supporter.Je le menai le plus loin possible du socle de pierre, mais rien ne semblait pouvoir l'arreter, il n'était pas ébralé comme je l'étais, mais plutôt déterminé et quand mon emprise sur lui faiblit, il courrut à la suite de Bellatrix. Je n'avais plus la force de le retenir, j'avais à vrai dire, déjà du mal à mettre un pied devant l'autre, dumbledore s'en chargea à ma place.
Je me suis rendu auprès de Tonks, elle était très faible, mais s'en sortirai, j'en étais soulafé, si j'avais du la perdre elle aussi...
Après le tumulte de la bataille, la salle me parut etonemment silencieuse même s'il me semblait entendre de faible chuchotement provenant de ce voile maudit. Mon regard ne cessait de se poser sur lui, quand on le traversait, on ne revenait jamais, le passage de la vie à la mort était ainsi.Il n'y avait plus rien, tout était fini, Fudge ainsi que les atres représentants du ministère pénetrèrent dans la salle. Il n'y avait plus rien à présent, plus de bruit, plus de doute, plus de mensonges..et surtout, plus rien de cette étonnante amitié qu'à tous prix le desti voulut briser, ne restaient plus que les souvenirs..
Tout est fini à présent, il ne me reste plus rien, ou presque..
Je portai tonks pour la mener à Sainte Mangouste...